Egg Farmers of Canada battles malnutrition

Les Producteurs d’œufs du Canada livrent un combat à la malnutrition

Ils l’appellent « l’humble œuf », mais il n’y a rien de modeste dans l’impact positif qu’ont généré les Producteurs d’œufs du Canada (POC) en s’attaquant à un enjeu comme la malnutrition.

They refer to it as “the humble egg,” but there’s nothing humble about the kind of positive impact Egg Farmers of Canada (EFC) strives to have in addressing issues such as malnutrition.

Au cours des trois dernières années, les POC ont distribué quelque 2,5 millions d’œufs à des orphelins du Swaziland, un pays africain d’un peu plus d’un million de personnes, mais où les effets dévastateurs du VIH/SIDA ont laissé 250 000 orphelins dans leur sillage.

Over the past three years, EFC has distributed 2.5 million eggs to orphans in Swaziland, an African country of a little over a million people, but where the devastating impact of HIV/AIDS has left a quarter of a million children orphaned.

Ce don s’ajoute aux millions d’œufs que les POC distribuent chaque année par l’intermédiaire d’organisations comme le Club des petits déjeuners du Canada et les Banques alimentaires du Canada.

That’s in addition to the millions of eggs EFC donates annually through organizations like Breakfast Club of Canada and Food Banks of Canada.

« Tout cela commence par la confiance que nous avons en notre produit et la certitude que les œufs sont l’aliment idéal pour fournir un apport de protéines », affirme le directeur général Tim Lambert, dont l’organisation représente plus de 1 000 producteurs d’œufs provenant de toutes les provinces et des Territoires du Nord-Ouest. « Nous avons une véritable passion pour la contribution que nous pouvons apporter, que ce soit sur la scène nationale ou mondiale. »

“It starts with a belief in our product and the fact that eggs are the perfect food and gold standard for protein,” says CEO Tim Lambert, whose organization represents more than 1,000 egg farmers in all provinces and the Northwest Territories. “We have a real passion about the contribution we can make, domestically and globally.”

L’organisation s’est par ailleurs fortement engagée à faire grandir son industrie de la manière la plus durable possible. Une récente étude des POC démontre que les producteurs d’œufs produisent 50 % plus d’œufs qu’il y a 50 ans en utilisant la moitié des ressources qu’ils employaient à cette époque.

The organization also has a strong commitment to growing the industry in the most sustainable manner possible. A recent EFC study found farmers were producing 50 per cent more eggs using half the resources they did 50 years ago.

« Il s’agit d’un progrès énorme », estime M. Lambert, « mais nous voulons encore nous améliorer. C’est pourquoi nous travaillons avec des partenaires pour examiner de plus près l’empreinte environnementale laissée par la production d’œufs. C’est aussi pourquoi nous soutenons une chaire de recherche en développement durable à l’Université de la Colombie-Britannique. »

“That’s tremendous progress,” says Lambert, “but we want to do even better. That’s why we are working with partners to look at the environmental impact of egg production. It’s also why we supported a Research Chair in Sustainability at the University of British Columbia.”

Tim Lambert croit qu’il existe un lien direct entre ces initiatives humanitaires et environnementales et la réputation que les POC ont acquise dans le palmarès des meilleurs employeurs. « Nous avons acquis une réputation d’organisation agricole de premier plan parce que nous sommes reconnus pour faire les bonnes choses pour les bonnes raisons », ajoute-t-il.

Lambert believes there is a direct connection between these humanitarian and environmental initiatives, and the reputation EFC has earned as a top employer. “We’ve built a reputation as a leading agriculture organization because we are known for doing the right things for the right reasons,” he adds.

Cette réputation a certainement séduit Christine Anawati, qui est entrée au service des POC il y a cinq ans et qui est devenue la responsable des communications de l’entreprise. « L’approche historique de redonner à la société adoptée par les POC ma particulièrement plu », affirme-t-elle.

That was certainly the case for Christine Anawati, who joined EFC five years ago and is now Manager of Corporate Communications. “EFC’s longstanding approach to giving back really appealed to me,” she says.

L’équipe ne compte que 60 personnes et elle ajoute : « Les POC proposent un milieu de travail dynamique où les jeunes professionnels reçoivent les outils dont ils ont besoin pour obtenir de bons résultats et faire avancer leur carrière. »

With a team of just 60 people, she adds, “EFC is a fast-paced workplace where young professionals are given the tools we need to thrive and grow in their careers.”

M^me Anawati souligne d’ailleurs la récente création d’un groupe de mobilisation des employés comme un exemple de l’encouragement qui est proposé pour tenter de faire une différence.

Anawati points to a recently formed Employee Engagement Group as an example of how everyone is encouraged to make a difference. “The idea is very simple, but effective—every team member can provide input and have direct impact on way we work.”

« L’idée est très simple, mais elle est efficace : chaque membre de l’équipe peut apporter sa contribution et avoir un impact direct sur la manière dont nous travaillons. »

As a result of these efforts EFC benefits from a high level of employee engagement and low turnover rates.

Grâce à ces efforts, les POC profitent d’une fidélisation élevée de ses employés et le ratio de rotation du personnel reste très bas.